Les Britanniques et les Français ont pillé de nombreux pays pour leur propre profit au cours des 17e et 18e siècles. Ces envahisseurs barbares ont souvent laissé des traces de leur culture pour la postérité ! Un choix des meilleurs airs barbares de ces empires!
Oeuvres de Couperin, Hume, Locke, Marais et Sainte-Colombe
Régulier : 35$ - Aînés (65 ans et plus) : 30$ - Étudiant : 15$
Voûte de la Chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours
400 Rue Saint-Paul E,
Montréal QC
Canada
Invasions barbares
DUO LES VOIX HUMAINES
SUSIE NAPPER, viole de gambe
MÉLISANDE CORRIVEAU, viole de gambe
Tobias Hume (1580-1645)
A Spanish Humour
John Jenkins (1592-1678)
Suite in D
Ayre - Almand - Almand
Christopher Simpson (v.1605-1669)
Divisions on a Ground
Marin Marais (1656-1728)
Le jeu du volant
Jean de Sainte-Colombe (v.1640-v.1700)
Chaconne Le rapporté
Marin Marais
Fantaisie en écho
Jean-Philippe Rameau (1683-1764)
La Coulicam (Thamas Couli Khan, roi de Perse)
François Couperin (1668-1733)
Musette de Taverni
Musette de Choisi
François Couperin
Le Trophée
Marin Marais
Les Voix humaines
François Couperin
L’anguille
Jean de Sainte-Colombe
Gavotte
Les Britanniques et les Français, de véritables envahisseurs barbares, ont pillé de nombreux pays pour leur propre profit au cours des 17e et 18e siècles, laissant des traces de leur culture pour la postérité ! On trouve par exemple des opéras de Rameau en Haïti, et de nombreux témoignages musicaux britanniques et français au Canada, en Inde et dans les Caraïbes. Les violes retrouvées dans les murs d’un hôpital de Québec sont extraordinaires… Venez découvrir les airs barbares favoris des Voix humaines.
Le nouveau duo Les Voix humaines apporte élégance et brio à ses interprétations ! Mélisande Corriveau, virtuose de la viole de gambe et de la flûte à bec, et Susie Napper se sont produites ensemble pendant deux décennies en tant que membres du consort de violes des Voix humaines, collaborant à de nombreuses entreprises, concerts et disques. Elles jouent toutes deux sur des basses de viole du tournant des XVIIe et XVIIIe siècles, de l’atelier du luthier londonien Barak Norman.
Le duo s’appuie sur un riche bagage, issu de décennies de prestations données dans le monde entier par Susie Napper et Margaret Little, dont la complicité musicale a été comparée à l’adresse d’une paire de trapézistes, ou encore à la communion télépathique de musiciens de jazz. Les nombreux prix et enregistrements de ce premier duo forment la base sur laquelle le nouveau élabore un répertoire original et un style inventif, pour mieux ravir une nouvelle génération de mélomanes.